François Bayrou est Richard Gere, et j’en suis convaincu à 100%

Bon, accrochez-vous, parce que je vais vous balancer une vérité qui m’a frappé comme une claque cosmique : François Bayrou, le mec des Pyrénées avec sa dégaine de prof de latin, est la version multiverse de Richard Gere, le tombeur d’Hollywood.
Oui, j’ai dit multiverse, façon Marvel, avec des portails, des doubles et des complots qui sentent le pop-corn et la cravate mal nouée.

Et je ne rigole pas.
Depuis que cette idée m’a percuté, je ne dors plus, je vois des signes partout, et je suis prêt à mettre ma main au feu que c’est LA vérité.

Ils ne se croisent jamais : j’ai vérifié

Tout a commencé quand j’ai remarqué un truc louche : on n’a JAMAIS vu Bayrou et Gere au même endroit en même temps.
Jamais. J’ai épluché les archives, les vidéos YouTube, les photos de gala.

1990 ? Gere fait fondre les cœurs dans Pretty Woman, et Bayrou ? Disparu, soi-disant à « penser l’avenir » dans son Béarn.

2007 ? Gere joue les survivalistes dans Les Chasses du Comte Zaroff, Bayrou rate l’Élysée et se planque.

2020 ? Gere devient papa à 70 balais, Bayrou est introuvable dans le chaos du Covid. J’ai même checké les fuseaux horaires : ça colle.

Pour moi, c’est clair, ils switchent entre dimensions via un portail planqué dans une grange à Pau.

La généalogie qui m’a scotché

Mais attendez, ça va plus loin. J’ai mis mes lunettes de détective et j’ai fouillé leur passé.
J’ai trouvé un truc énorme : un ancêtre de Bayrou, un certain Pierre-Jean Baygereau, un Basque du XVIIIe siècle, aurait filé en Amérique, pile là où les Gere ont débarqué.
J’ai croisé les dates, les noms, et bam : ça matche.
Et écoutez ça : ma tante m’a juré qu’en 1960, elle a vu une vieille de la famille Bayrou flirter avec un Gere Senior lors d’un voyage à Los Angeles.
Les preuves ? Brûlées dans un « accident » à la mairie de Pau. Ça pue le cover-up à plein nez, et je ne lâcherai pas l’affaire.

Un Bayrou-Gere avec des vibes de mutant

Franchement, plus j’y pense, plus je me dis que Bayrou est un Gere avec des pouvoirs chelou.
Il a le charisme de Richard dans American Gigolo, mais version low-cost : il te vend du rêve avec des discours sur l’école au lieu de danser en boxer.

Son superpouvoir ? Se faire oublier pile quand ça chauffe, puis revenir en mode « je suis votre sauveur ».
J’imagine son costume : un pardessus gris digne d’un notaire en civil et une combinaison grise style de plongée avec une cape rouge lorsqu’il passe en mode superhéros comme Superman, en se changeant dans une cabine téléphonique de l’autre côté de la rue de l’Élysée (enfin imaginons que ça existe encore les cabines hein?).
Tout ça englobé par une aura de mec qui te ferait voter pour lui sans savoir pourquoi.

Un héros Marvel au rabais, mais un héros quand même.
Alors voilà, je suis convaincu : Bayrou, c’est Gere, et Gere, c’est Bayrou.
Un seul mec, deux vies, un multiverse.

Vous pouvez rire, mais moi, j’y crois dur comme fer.
Et si je trouve ce portail dans les Pyrénées, je vous emmène avec moi.

Ceci est bien évidemment une parodie et un billet d'humour.
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